Immobilier EHS
Un défi majeur: trouver un lieu de vie sain, vivable et accessible pour une personne EHS. Un vrai cauchemar!
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Vivre en appartement?
Mais quel appartement n’est pas pollué par les ondes trop intenses des objets connectés des voisins? Les solutions de blindage existent, mais elles sont très coûteuses, techniquement complexes à installer, et souvent mal adaptées ou insuffisantes. Autant dire que les appartements ne sont plus convenables pour les EHS aujourd’hui.
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Vivre dans une maison unifamiliale, alors?
Mais si un voisin ou une antenne est trop proche, c’est encore invivable et malsain. Et quel serait le plaisir de vivre enfermé dans une maison blindée, bâtie sur un terrain infréquentable?
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Une vieille maison?
Si une maison est assez vieille pour avoir des murs peints à la peinture au plomb, on peut avoir une certaine atténuation des ondes. Parfois, une maison en pierre aide un peu, mais il n’y a pas de miracle. Une maison a des portes et fenêtres qui sont généralement des passoires à ondes. L’électricité n’est pas toujours installée de manière convenable, alors une rénovation électrique devient nécessaire et c’est coûteux.
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Une maison neuve, alors?
Parfois, elles sont isolées avec du pare-vapeur en aluminium, ce qui crée un blindage pour les murs et réduit l’intensité du Wi-Fi venant de l’extérieur. Mais… dans la plupart des cas, les nouvelles maisons sont infestées d’appareils sans fil S.M.A.R.T. (Surveillance, Monitoring, Analysis, Reporting Technology). En plus des compteurs électriques S.M.A.R.T. avec Zigbee, il y a les thermostats, thermopompes, appareils ménagers, caméras de surveillance et autres gadgets de domotique qui doivent tous être retirés et remplacés à l’achat. C’est compliqué et encore coûteux.
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Les fenêtres?
Quand la vitre est traitée contre les rayons UV, elle offre une certaine atténuation, mais sans miracle à proximité d’ondes très intenses. Disons que c’est mieux que rien. Mais si le cadre est en bois ou en plastique, les ondes passent. On aura beau avoir du pare-vapeur en aluminium dans les murs, les trous, les portes et fenêtres restent des passoires à ondes. Et une fois entrées, elles rebondissent, ce qui n’est ni confortable ni supportable pour une personne EHS. Blinder correctement une maison est un très gros défi.
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Vivre en ville?
Existe-t-il encore des lieux fréquentables et vivables en ville pour des EHS? Réalistement, comment peut-on y vivre sans que l’habitation soit strictement blindée? Comment sortir dehors sans être habillé d’un blindage intégral? Réalistement, c’est impensable d’être vraiment bien en ville quand on est EHS, tellement les ondes sont trop intenses partout. Il faut savoir qu’à plusieurs endroits en ville, les niveaux de puissance ambiants sont aussi élevés que si vous aviez des téléphones cellulaires en fonction collés à votre corps, de la tête aux pieds, 24 h sur 24. C’est cinglé à ce point. Et si vous en doutez, allez mesurer, vous verrez.
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Les quartiers résidentiels, alors?
Ils sont de plus en plus invivables. En plus des antennes qui y poussent comme des champignons, il y a plusieurs voisins qui utilisent des "boosters de Wi-Fi" qui polluent tellement l’environnement que même en voiture, dans la rue, vitres fermées, en face de leur maison, c’est trop intense! Et parfois, ça se rend jusqu’au 2ᵉ ou 3ᵉ voisin.
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Et vivre dans un village?
Les villages sans antennes ni Wi-Fi polluant sont en voie d’extinction. C’est déjà rarissime. On peut se consoler en se disant que les niveaux de puissance, bien que trop intenses, sont généralement de 10 à 1000 fois moindres qu’en ville. C’est déjà ça de gagné. Mais c’est malgré tout invivable pour une personne EHS.
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Mais quand la maison est près de la rue?
Les voitures électriques, avec ou sans chauffeur, et les voitures équipées de radars d’aide à la conduite émettent des ondes millimétriques, sans compter le reste de la connectivité sans fil : Wi-Fi, Bluetooth et réseau cellulaire, dont la plupart des voitures sont désormais équipées. À chaque passage d’une voiture à forte émission électromagnétique, la maison en bordure de rue subit sa pollution.
Et, vous l’aurez deviné, ces voitures ne sont pas adaptées aux personnes EHS.
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Au bord du fleuve, ça devrait être sympa, non?
Mais les gros bateaux, avec leurs radars et antennes, diffusent eux aussi leur pollution électromagnétique toxique. Et voilà la poésie côtière qui fait naufrage.
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Donc le sommet d'une montagne?
Il faut évidemment s'attendre à y retrouver des antennes! Pas moyen de trouver la paix même au sommet!
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Aller là où il n'y a aucun réseau internet ni cellulaire?
Devinez ce que font les voisins à ces endroits... ils se connectent par satellite et ça pollue chez vous à en avoir la nausée! Et on parie que la prochaine nouvelle antenne sera installée tout près?
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Vivre où, alors?
À part dans le bois, sur un grand terrain, dans un creux, un racoin, loin des voisins et des antennes, il reste quoi ? Et à quel prix? Peut-on se le permettre? Comment vivre près de sa famille, de ses amis, d’une école, des services? Ben… on oublie ça. Une vie sociale? Bonne chance! Se faire une place dans la société? Hahaha! Mieux vaut en rire qu’en pleurer, j’imagine.
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Une crise sans précédent!
Il va sans dire que nous vivons une crise gravissime du logement et de l’immobilier pour les personnes EHS. Si ça continue, quel endroit vivable nous restera-t-il vraiment? Nous faudra-t-il vivre sous terre? Aller sur une autre planète? Franchir un portail vers une autre dimension?
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Ce que les gens ne comprennent pas...
Les effets des ondes sont cumulatifs. Et la place qu’on ne fait pas maintenant aux EHS dans la société, c’est celle que les non-EHS d’aujourd’hui n’auront pas demain, quand leur temps de cuisson sera atteint et qu’ils seront EHS à leur tour. Il est urgent d’accommoder les EHS dans toutes les sphères de la société. Il en va de notre avenir à tous.





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